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Pratiquer en 24/7 -
Article mis en ligne le 6 janvier 2022
dernière modification le 7 janvier 2022

par ulysse
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Qu’est-ce que le 24/7 ? Le 24/7 fait peur par méconnaissance du concept, car il provoque un état de bien être permanent que l’on ne peut pas trouver dans une relation par séances espacées.

24/7 : Définition

24/7 est l’ abréviation pour « 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 ». Dans le commerce et l’ industrie, cela signifie que le service est toujours disponible à toute heure du jour ou de la nuit. En BDSM, cela signifie que la soumise est hébergée et vit chez le Maître une relation DS avec un mélange de moments DS, de Séances BDSM, de vie courante selon l’accord initial conclu consensuellement.

Ce que le 24/7 ne doit pas être

Il existe des conceptions du 24/7, parfois idéales, parfois fantasmées et irréalisables, voire dangereuses, psychologiquement car certain(e)s imaginent que le 24/7, c’est une séance permanente de BDSM ou de SM avec punitions, humiliations, dégradation ! Cela mènerait vite à de gros soucis pour la soumise aussi bien physiquement que psychologiquement et là, on ne se serait plus dans le BDSM, mais dans l’abus. Un Maître digne de ce nom doit veiller à la santé physique et morale de sa soumise et à son épanouissement pas à sa destruction.

Le 24/7 que je pratique et que je vous encourage à vivre

J’héberge souvent une soumise ou esclave pour des pratiques en 24/7 pour des jeux BDSM, pour des éducations complètes essentiellement. C’est la seule manière de profiter totalement des bienfaits du BDSM et de progresser rapidement.

Les séances

En 24/7, le temps est partagé entre des séances de BDSM qui peuvent être très variées, car l’on n’est pas limité par le temps et de la DS dans des périodes de vie ’’ordinaire’’.

On a le temps de faire une éducation complète avec une à deux séances par jour selon endurance de la soumise, ou une séance et un entraînement, un dressage, un jeu de rôle, de l’exhibition... ou tout simplement des câlins selon l’accord consensuel défini entre nous.

Les séances et autres pratiques, sont souvent plus intenses en 24/7, car on peut prendre son temps et jouer un maximum avec toutes les possibilités de plaisirs qu’offre le BDSM. 

Un petit rappel, lorsque l’on utilise la douleur, on la dose pour qu’elle libère des endorphines qui vont provoquer bien être, euphorie, une sensation de calme, de relaxation et amener au lâcher prise si recherchée. On peut également faire intervenir d’autres hormones en variant les phases de jeux, en travaillant la psychologie, on jouant avec les sens... comme la dopamine qui est appelée hormone du plaisir, la sérotonine qui offre plénitude et contentement, et l’ocytocine qui est crée par le renforcement du lien et de la confiance avec le Maître. Elle est aussi nommée l’hormone de l’attachement ou de l’amour ! On peut donc alterner des phases qui vont amener à un lâcher prise total ou l’état de conscience de la soumise est modifié, ou elle va perdre la notion du lieu, du temps et entrer dans un monde fantastique, fantasmagorique de plaisirs et de sensations nouvelles et se libérer totalement de ses blocages et se donner corps et âme avec fougue pour atteindre l’extase suprême.

Comme j’ai le temps, je peux étudier les réactions de la soumise et jouer avec avec la douleur, le plaisir et l’émotivité, les sens de la soumise, sa psychologie pour lui faire sécréter des hormones diverses qui vont amplifier la force des jouissances, des orgasmes sexuels et provoquer des extases et des feux d’artifice orgasmiques incroyablement intenses et bons comme le subspace.

L’après-séance

Une fois la séance finie, généralement après un subspace ou une entrée en transe multiorgasmique de la soumise, j’initie une décompression pour lui permettre de quitter son extase progressivement, en douceur. On commence par des câlins, des caresses parfois des discussions ou tout simplement pat s’endormir ou faire l’amour tendrement selon les envies. Ensuite, on peut faire le point, échanger. Ce moment important est souvent négligé par manque de temps, en 24/7 on peut le faire durer.

La vie courante

Une fois la séance et l’après-séance finie, on range, nettoie le donjon et on retourne à une vie normale.

Une vie pas si ’’normale’’ ponctuée de repas, de loisirs, d’activités diverses tout en gardant une relation DS, douce, respectueuse, amusante, excitante, parfois empreinte de douces folies et forte complicité consensuelle.

On peut inclure des petits jeux et défis dans toutes les phases de la vie ordinaire pour pimenter, exciter, s’amuser... et la vie devient un jeu, une fête du plaisir permanente, on renforce ainsi la confiance, la complicité...

Si lors d’une séance bdsm, par la douleur, le plaisir vient des endorphines, puis d’autres hormones selon les pratiques du Maître, lors des jeux hors séances, en 24/7, la soumise va produire de la dopamine qui est appelée hormone du plaisir, de la sérotonine qui offre plénitude et contentement, et l’ocytocine qui est crée par le renforcement du lien et de la confiance avec le Maître et qui est aussi nommée l’hormone de l’attachement ou de l’amour !

Jeux de rôle

Il est possible de faire des jeux de rôle BDSM qui peuvent durer un ou deux jours selon les fantasmes de la soumise, on peut les arrêter à tout moment par un mot de sécurité.

Dans certaines relations 24/7, la soumise a plusieurs prénoms, chacun active une personnalité bdsm différente. Le prénom que j’utilise pour lui parler changera sa personnalité, son habillement et ses attitudes et cela déclenchera les jeux qui sont propres à son personnage.
Les possibilités sont infinies.

24/7 et bien être

En 24/7, on a le temps, le temps de préparer la séance, le temps de la vivre, de la faire durer, puis de décompresser, de se câliner, d’en parler afin que la fois suivante, tout soit encore plus parfait.
L’alternance séance BDSM et DS, provoque un état de bien être permanent qu’on ne peut pas trouver dans une relation par séances espacées.

C’est l’Art de vivre BDSM

Les Difficultés à surmonter :

Le Maître est le moteur de ce type pratique et la soumise l’énergie qui le fait fonctionner, chacun doit donc y mettre toute son ardeur, sa volonté pour que cela fonctionne.

Le danger du 24/7 est de deux ordres :
 Sombrer dans une routine qui amène à la vanillisation de la relation ce qui la rendra ordinaire, ennuyante, et sans saveur. Il faut donc se réinventer en permanence.
 Les fortes émotions que l’on vit, empathie mutuelle, l’attachement fort qui se crée produit une hormone, l’ocytocine qui est considérée être l’hormone de l’attachement ou de l’amour ! Certaines soumises tombent donc follement amoureuses du Maître alors qu’il ne s’agit pas d’un amour véritable et réel, romantique avec coup de foudre... mais d’un processus hormonal créé par les pratiques BDSM. Le savoir permet de comprendre le phénomène et de considérer qu’une belle amitié, complice, hors du commun va naître et de s’éviter les affres d’un amour qui n’en est pas un.


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